New York fait depuis longtemps figure d’ovni dans le paysage écologique des villes américaines. En effet, outre les 350 hectares de Central Park, 220 nouveaux hectares de jardins se sont récemment ajoutés grâce à l’aménagement des berges de l’Hudson et à la création de l’Hudson River Park. La chasse aux émissions de gaz carbonique, qui proviennent à 80 % des immeubles (contre 32 % dans le reste du pays), est ouverte. La ville qui ne dort jamais va obliger les buildings à réduire leur consommation d’énergie et leur émission de gaz à effet de serre. Une nouvelle législation forçant les propriétaires des buildings et gratte-ciel les plus anciens à changer ampoules, chaudières et systèmes d’aération, pourrait être votée très prochainement. Aussi, la «grosse pomme» a promis, à travers une autre loi, de réduire de 80% de ses émissions polluantes d’ici 2050. 30 années seront donc nécéssaires pour réussir cet exploit qui nécessitera de très gros chantiers dans les immeubles concernés.
Les travaux indispensables pour arriver à ce but à l’échelle de la ville coûteraient un peu plus de 4 milliards de dollars.
On peut dire que New York reste à la pointe des tendances, surtout lorsqu’il s’agit d’écologie.
#ecologie #newyork #bigapple #co2 #consommation #énergie