Fin février, les Trophées de l’Agriculture du Vivant ont été remis à Paris pour récompenser les acteurs des filières agro-alimentaires ayant adopté des techniques innovantes ou des démarches de progrès dans la production ou la distribution de produits issus de l’agriculture du vivant.
Durant 4 jours, une cinquantaine d’intervenants ont partagé leurs recherches dans le but de converger vers un modèle commun et cohérent. Au cœur de l’ensemble des techniques présentées, on retrouve la régénération des sols et le retour des cycles de fertilité comme moteur de production et source de biodiversité. Ces piliers de l’agriculture du vivant sont accessibles à toutes les sortes de productions agricoles bio ou non, sans distinction de taille. L’avantage étant que cela permet de stocker du carbone en masse.
Mais qu’est-ce que l’agriculture du vivant ? Cela englobe un ensemble de techniques agricoles que sont l’agroécologie, l’agroforesterie, les semis direct sous couverts, l’agriculture de conservation ou régénérative, la permaculture ou encore le maraîchage sur sol vivant. C’est en copiant les principes fondamentaux de la nature que l’agriculture du vivant permet de restaurer le cycle de fertilité des sols. Ce qui conduit à une meilleure production, un meilleur rendement et la récolte de produits plus qualitatifs.
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