Selon une étude et une méta-analyse réalisées par les chercheurs de l’Université de Berkeley aux États-Unis, recherche rassemblant 76 études sur 62 espèces sépareés par les six continents et par différentes méthodes d’observation, l’homme et ses activités dérangeraient des espèces vivant principalement le jour.
Le constat est simple : les animaux contraints de modifier leur comportement pour vivre la nuit à cause de l’activité humaine seraient les plus « perturbés ». Cela concerne les mammifères carnivores ou herbivores de plus d’un kilogramme, qu’il s’agisse du coyote, du cerf, du tigre ou encore du sanglier. De plus, les activités humaines comme la chasse, l’agriculture ou encore les habitations peuvent déclencher des effets modificateurs chez ces mammifères. Ceux-ci déclencheraient des troubles du régime alimentaire et seraient de plus en plus faibles face à leurs prédateurs. A l’heure de la remise en cause des activités de l’être humain sur la planète, les animaux sont aussi impactés que les végétaux. A nous de prendre en compte ces constats pour essayer d’inverser la tendance.
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