GENETICANCER, association de lutte contre les cancers génétiques et/ou d’origine héréditaire, étoffe la collection de teddys qu’elle vend au profit de ses actions. Après les blousons « Madame sans gène » et « Monsieur sans gène », elle lancera, le 1er septembre, des teddys pour enfants portant les inscriptions « Prince sans gène » et « Princesse sans gène ».
Objectif de ces nouveaux modèles : financer les programmes de recherches menés par l’Institut Gustave Roussy (IGR) sur les cancers pédiatriques génétiques, mais aussi faire la lumière sur ces leucémies, lymphomes et autres tumeurs.
Chaque année, on dénombre près de 2 500 nouveaux cas de cancer chez des enfants en France, où c’est la première cause de décès par maladie entre 1 an et 18 ans.
Pourquoi certains enfants développent des cancers ? Existe-t-il des prédispositions génétiques ?
Quels sont les gènes concernés ?
Telles sont les interrogations pour lesquelles GENETICANCER aimerait avoir des réponses.
C’est pourquoi la vente des teddys « Prince sans gène » et « Princesse sans gène » se fera au profit des projets de recherche menés sur ces questions par Gustave Roussy. Cet établissement de Villejuif (94), à la fois hôpital et centre de recherches, est le premier centre européen de lutte contre le cancer .
Ces teddys seront en vente à partir du 1er septembre sur le site Internet de l’association (www.geneticancer.org/shop), au prix de 35€.
Parce que ce lancement coïncidera avec Septembre en Or, mois de mobilisation contre les cancers pédiatriques, l’association offrira des teddys aux enfants hospitalisés à Gustave Roussy.
À cette occasion, elle leur organisera une journée particulière : le jeudi 6 septembre, ils pourront assister à un spectacle, avec des artistes partenaires.
Deuxième vague de violet
Espérons que la vente des teddys « Prince sans gène » et « Princesse sans gène » aura autant de succès que celle des modèles adultes. Depuis leur lancement, en février 2017, plus de 400 teddys « Madame sans gène » et « Monsieur sans gène » ont été vendus (prix de vente : 45€). L’argent récolté a servi à financer les actions de GENETICANCER pour une meilleure information du public sur les cancers génétiques et/ou d’origine héréditaire.
L’engagement de nombreuses célébrités n’y est pas étranger. Ces derniers mois, beaucoup ont accepté de partager sur les réseaux sociaux une photo d’elles portant l’un de ces teddys : Shy’m, Sandrine Quétier, Valérie Benaïm, Ariane Brodier, Estelle Denis, Bérangère Krief, Harry Roselmack, Hapsatou Sy, Karima Charni, Vanessa Demouy, David Douillet, Joy Esther, Séverine Ferrer, Aurélia Khazan, Veronika Loubry, Laurence Roustandjee, Gian Marco Tavani, Élisa Tovati…
Ayant suivi l’exemple de la marraine de l’association, Sandra Sisley, directrice d’une agence de relations publiques, ils ont accompagné leurs posts des hashtags #madamesansgene, #monsieursansgene et #Geneticancer. Une déferlante de violet qui a contribué à faire davantage connaître l’association auprès du grand public.
Avec le lancement des teddys « Prince sans gène » et « Princesse sans gène », une nouvelle vague de violet est attendue sur les réseaux sociaux, cette fois autour des hashtags #princesansgene et #princessesansgene. Car l’objectif, là encore, est aussi bien de récolter des fonds que de faire parler des cancers génétiques. Et ce même loin des tapis rouges.
Une faute d’accent qui fait parler
Quand vous arborez l’un des teddys de GENETICANCER, la chose que les gens voient en premier, c’est votre look, actuel et décontracté.
Ils verront ensuite l’inscription dans votre dos et se demanderont peut-être s’il n’y a pas un problème d’accent sur le mot « gène ». S’ils vous posent la question, ou s’ils vous interrogent sur votre revendication à être « sans gêne », cela fait une bonne accroche pour entamer le dialogue sur un sujet – la transmission génétique de certains cancers – encore tabou dans de nombreuses familles.
Et une bonne occasion pour inviter en douceur les personnes de votre entourage à se rapprocher de GENETICANCER, pour s’informer, voir si elles ont besoin de consulter et connaître les solutions de prévention possibles.
GENETICANCER est une association dédiée à la lutte contre les cancers génétiques et/ou d’origine héréditaire. Elle a été créée en janvier 2016 par Laetitia Mendes, auteure du livre Mon petit gène, ma seconde chance (éd. Anne Carrière), pour répondre au manque d’information et de soutien qu’elle a pu constater quand elle a découvert qu’elle était porteuse d’une mutation génétique prédisposant au cancer, puis quand elle a fait le choix de la chirurgie mammaire prophylactique. L’objectif de GENETICANCER est de faire connaître les cancers génétiques, d’accompagner les familles concernées dans leur parcours médical et de soutenir la recherche.